C'est tout à fait vrai. Je viens justement de rencontrer un directeur d'hôtel qui explique qu'être chef d'entreprise, c'est comme être chef d'orchestre : il faut bien choisir ses musiciens et faire en sorte de créer une harmonie entre tous.

D'accord sur le principe, parce que cette harmonie est sûrement une base de bien-être...mais, aujourd'hui, c'est l'actionnariat et le capital qui priment.
Les hommes "employés" ne sont que des "machines" interchangeables, qu'elles se sentent bien ou pas dans l'entreprise n'est pas une priorité (de toute façon, elles n'ont pas à "ressentir" puisque ce sont des "machines" voir ce qui ce passe (ou s'est passé) dans des grands groupes français, où les gens se suicident, parce que les pressions sont trop fortes...)

C'est ce que je disais, dans "certains grands groupes" ...
Mais, aujourd'hui, précisément, entre les habitudes de consommation (des consommateurs) et les impératifs économiques (des dirigeants, de sociétés comme de gouvernement(s)) on voit de moins en moins de petites entreprises prospérer à l'idéal de ce qui est décrit dans cet article... qui reste un idéal, en espérant que la réalité retrouve une voie plus humaine.